Dans un alerte, le service de la protection civile en province de l’Ituri signal quelques faits des menaces communautaire dans le Groupement BOLOMA en Chefferie de Walendu Bindi territoire d’irumu en province de l’ituri.
Cités dans plusieurs autres pratique illégales, Certains éléments de groupes armés ont étendu leur champ d’action notamment dans des affaires purement juridique.
A ce jour, la protection civile indique que les éléments de force de résistance patriotique de l’ituri (en sigle FRPI) seraient entrain de procéder aux jugements et arrestations pour des faits civils, coutumiers, avec des accusation soit des civils, ou des plaignants familiers à l’un de ces éléments.
D’après ce service, “L’arrestation ne choisit pas le lieu”. Pire encore, “les ménages se trouvant dans le rayon de 100 mètres du lieu d’arrestation sont souvent victimes des actions déplorables”, alerte ce service attaché au ministère de l’intérieur.
Comme ces activités judiciaires ne suffisent pas, ces groupes armés en plein processus de paix avec le gouvernement congolais accentue la pauvreté de la population enquête d’une stabilité après des moments de guerres traversé dans cette partie sud Irumu dans la chefferie de walendu-bindi.
“Sur le tronçon Aveba-Bukiringi, on compte au-moins 5 barrières placées par les éléments de FRPI”, ou les passagers sont contraints a payer selon leur catégorie.
Pour le cas des autochtones “ces groupes armés imposent la somme de 1000FC sur chaque moto et 5000FC pour le véhicule”.
S’agissant d’autres tribu ces éléments font payer “2000 FC par moto et le véhicule ils demandent 10000 FC auprès de chauffeur”.
Cette tracaserie n’épargne pas les passagers ou client en bord des engins, qui doivent 2000FC par tête. Même situation chez les bêtes comme par exemple pour “la chèvre on impose 5000 FC la vache 10000 FC à chaque barrière”.
Sur terrain, alor qu’un calme règne dans la région “La situation des déplacés internes se trouvant dans ce Groupement serait de plus en plus catastrophique, depuis la dernière assistance Programme alimentaire mondial en sigle PAM”, alerte la protection civile.
Pour la protection civile “Ces alertes nécessitent des actions pouvant conduire à la réduction et voire l’éradication de ces menaces en y trouvant des solutions durables avec l’apport de toutes les parties concernées pour les réponses et assistances”.
A territoire d’irumu tout comme a djugu, les groupes armés ont installé des administrations parallèles en érigeant des barrières des rançons et exigent a la population et passagers de chaque fois payer de montant selon leurs consentement.
Rédaction